

Il s'en est allé doucement, dans son sommeil, comme s'il ne voulait déranger personne.
Maintenant, là-bas où il est, peut-être gambade-t-il dans un champ de romarins, fleurs qu'il aimait tant comme toutes les herbes du maquis.
David, l'homme qui aimait la nature, les vieilles pierres et les sources cachées, l'homme qui aimait Pagnol ne vivra plus que dans nos cœurs.
Vous qui l'avez connu et estimé, si j'en juge par les dizaines de messages qui lui sont dédiés, priez pour lui en ces jours si pénibles pour nous tous.
Merci à tous pour vos messages et votre présence si réconfortante pour notre famille.